Théories de la personnalité en psychologie: B.F. Dépeceur

Nous comprenons le béhaviorisme comme cette branche de la psychologie dédiée à l'analyse et à la tentative de déterminer nos actions, c'est-à-dire notre comportement. Dans cet article de PsychologyOnline, nous parlerons d'un grand exposant dans le Théories de la personnalité en psychologie: B.F. Skinner.

Indice

1. Biographie
2. Théorie
3. Schémas de renforcement
4. La modélisation
5. Modification du comportement
6. Lectures

Burrhus Frederic Skinner est né le 20 mars 1904 dans la petite ville de Susquehanna en Pennsylvanie. Son père était avocat et sa mère une femme au foyer intelligente et forte. Le sien La parentalité était démodée et laborieuse.

Burrhus était un garçon actif et extraverti qui aimait jouer dehors et construire des choses et aimait vraiment l'école. Cependant, sa vie n'a pas été sans tragédie. En particulier, son frère est décédé à l'âge de 16 ans d'un anévrisme cérébral.

Burrhus a obtenu son diplôme en anglais du Hamilton College dans le nord de l'État de New York. Il ne s'intégrait pas très bien dans ses années d'études et il ne participait même pas aux fêtes de fraternité des matchs de football. Il a écrit pour le journal universitaire, y compris des articles critiques de l'université, de la faculté, et même contre Phi Beta Kappa!. Pour couronner le tout, il était athée (dans une université qui exigeait une fréquentation quotidienne de la chapelle).

Finalement, il se résigna à écrire des articles sur les problèmes du travail et vécut un temps à Greenwich Village à New York en tant que « bohème ». Après quelques voyages, il décide de retourner à l'université; cette fois à Harvard. Il obtient son baccalauréat en psychologie en 1930 et son doctorat en 1931; et y resta pour faire des recherches jusqu'en 1936.

Cette année également, il a déménagé à Minneapolis pour enseigner à l'Université du Minnesota. Là, il a rencontré et épousé plus tard Ivonne Blue. Ils ont eu deux filles, dont la seconde est devenue célèbre en tant que premier enfant à être élevé sur l'une des inventions de Skinner: le berceau à air. Bien que ce n'était rien de plus qu'un ensemble berceau et parc entouré de verre et de climatisation, cela ressemblait plus à garder un bébé dans un aquarium.

En 1945, il a acquis le poste de chef du département de psychologie à l'Université de l'Indiana. En 1948, il a été invité à retourner à Harvard, où il est resté pour le reste de sa vie. C'était un homme très actif, recherchant et encadrant constamment des centaines de candidats au doctorat, et écrivant de nombreux livres. Bien qu'il n'ait pas été un écrivain de fiction et de poésie à succès, il est devenu l'un de nos meilleurs écrivains sur la psychologie, y compris le livre Walden II, un recueil de fiction sur une communauté animée par ses principes comportementaux. Nous nous référerons à partir d'ici au terme comportemental, car il est plus approprié dans le domaine de la psychologie. NT.

Le 18 août 1990, Skinner meurt d'une leucémie, après être devenu probablement le psychologue le plus célèbre depuis Sigmund Freud.

L'ensemble du système Skinner est basé sur le conditionnement opérant. L'organisme est en train d'« opérer » sur l'environnement, ce qui, en termes populaires, signifie qu'il s'y enfonce constamment; faire ce qu'il fait. Au cours de cette "opérabilité", l'organisme rencontre un certain type de stimulus, appelé stimulus de renforcement, ou simplement renforçateur. Ce stimulus spécial a pour effet d'augmenter la en fonctionnement (c'est; le comportement qui se produit immédiatement après le renforçateur). C'est le conditionnement opérant: le comportement est suivi d'une conséquence, et le La nature de la conséquence modifie la tendance de l'organisme à répéter le comportement dans le avenir."

Imaginez un rat dans une boîte. Il s'agit d'une boîte spéciale (appelée en fait « boîte de Skinner ») qui a une pédale ou une barre sur un mur qui, lorsqu'elle est enfoncée, déclenche un mécanisme qui libère une boulette de nourriture. Le rat court autour de la boîte, faisant comme les rats, lorsqu'il marche "accidentellement" sur la barre et hop!, la boulette de nourriture tombe dans la boîte. L'opérant est le comportement précédant immédiatement le renforçateur (la boulette alimentaire). Presque immédiatement, le rat descend de la pédale avec ses boulettes de nourriture dans un coin de la boîte.

Un comportement suivi d'un stimulus de renforcement entraîne une probabilité accrue de ce comportement à l'avenir.

Que se passe-t-il si nous ne donnons pas plus de balles au rat? Elle n'est apparemment pas stupide et après plusieurs tentatives infructueuses, elle s'abstiendra d'appuyer sur la pédale. C'est appelé extinction du conditionnement opérant.

Un comportement qui n'est plus suivi d'un stimulus de renforcement entraîne une probabilité décroissante que ce comportement ne se reproduise plus à l'avenir.

Maintenant, si nous redémarrons la machine pour qu'en appuyant sur la barre, le rat récupère la nourriture, le comportement de appuyer sur la pédale reviendra, beaucoup plus vite qu'au début de l'expérience, lorsque le rat a dû apprendre la même chose pour la première fois. En effet, le tour du booster se déroule dans un contexte historique, remontant à la première fois où le rat a été boosté en appuyant sur la pédale.

Skinner aime à dire qu'il est venu à ses diverses découvertes accidentellement (opérationnellement). Par exemple, il mentionne qu'il était "à court d'approvisionnements" de granulés alimentaires, il a donc dû les fabriquer lui-même; une tâche fastidieuse et chronophage. Il a donc dû réduire le nombre de renforts qu'il donnait à ses rats pour tout comportement qu'il essayait de conditionner. Ainsi, les rats ont maintenu un comportement constant et invariable, ni plus ni moins entre autres, en raison de ces circonstances. C'est ainsi que Skinner a découvert le schémas de renforcement.

le renforcement continu C'est le scénario original: chaque fois que le rat commet le comportement (comme appuyer sur la pédale), il reçoit une petite boule de nourriture.

le programme à fréquence fixe fut la première découverte par Skinner: si, disons, le rat appuie trois fois sur la pédale, il obtient de la nourriture. Ou cinq. Ou vingt. Ou "x" fois. Il y a une fréquence fixe entre les comportements et les renforcements: 3 à 1; 5 à 1; 20 à 1, etc. C'est comme un "prix à la pièce" dans la production de vêtements industriels: plus vous faites de chemises, plus vous facturez.

le programme d'intervalle fixe utiliser un engin pour mesurer le temps. Si le rat appuie sur la pédale au moins une fois au cours d'une période de temps donnée (disons 20 secondes), alors il reçoit une boulette de nourriture. S'il n'effectue pas cette action, il ne récupère pas le ballon. Mais même si vous appuyez sur la pédale 100 fois dans ce laps de temps, vous n'obtiendrez pas plus d'une balle! Dans l'expérience, une chose curieuse se produit si le rat a tendance à faire le « pas »: il baisse la fréquence de ses comportement juste avant le boost et accélérer le rythme lorsque le temps est sur le point de finir.

Skinner a également parlé des programmes variables. Une fréquence variable signifie que nous pouvons changer le "x" à chaque fois; appuyez d'abord trois fois pour obtenir une balle, puis 10, puis 1, puis 7 et ainsi de suite. L'intervalle variable signifie que nous continuons à changer cette période; 20 premières secondes, puis 5; puis 35 et ainsi de suite.

Poursuivant le programme à intervalles variables, Skinner a également observé dans les deux cas que les rats ne maintenaient pas plus de fréquence, car ils ne pouvaient pas établir le « rythme » plus longtemps entre le comportement et récompense. Plus intéressant encore, ces programmes étaient très résistants à l'extinction. Si nous nous arrêtons pour y penser, cela a vraiment du sens. Si nous n'avons pas reçu de récompense depuis un certain temps, eh bien, nous sommes très probablement dans la "mauvaise" fourchette ou taux… juste une fois de plus sur la pédale; C'est peut-être la version définitive !

Selon Skinner, c'est la mécanique du jeu. Nous ne gagnerons peut-être pas trop souvent, mais nous ne savons jamais quand nous gagnerons à nouveau. Ce sera peut-être le prochain, et si nous ne lançons pas les dés, ne jouons pas une autre main ou ne parions pas sur ce numéro en particulier, nous perdrons le prix du siècle !

Un problème auquel Skinner a dû faire face est de savoir comment nous arrivons à des sources de comportement plus complexes. Il a répondu à cela avec l'idée de la modélisation, ou "la méthode des approximations successives". Fondamentalement, elle consiste en premier lieu à renforcer un comportement que vaguement similaire à celui souhaité. Une fois celui-ci établi, nous cherchons d'autres variantes qui semblent très proches de ce que nous voulons et ainsi de suite. successivement jusqu'à ce que l'animal montre un comportement qui n'aurait jamais eu lieu dans la vie ordinaire. Skinner et ses élèves ont réussi à apprendre aux animaux à faire des choses extraordinaires. Mon préféré est celui d'apprendre aux pigeons à jouer au bowling !

J'ai déjà utilisé le mannequinat sur une de mes filles. Il avait trois ou quatre ans et avait peur de descendre un toboggan particulier. Alors je l'ai chargée, je l'ai mise au bas du toboggan et je lui ai demandé si elle pouvait sauter par terre. Bien sûr qu'il l'a fait et j'étais très fier. Puis je l'ai rechargé et mis un pied plus haut; Je lui ai demandé s'il allait bien et lui ai dit de pousser et de se laisser tomber puis de sauter. Jusqu'ici tout va bien. Je répétai cet acte encore et encore, montant de plus en plus haut sur le toboggan, non sans une certaine peur lorsque je m'éloignai d'elle. Finalement, il a pu sauter du haut et sauter à la fin. Malheureusement, je ne pouvais toujours pas monter les échelles jusqu'au sommet, alors j'ai été un parent très occupé pendant un certain temps.

C'est la même méthode qui est utilisée dans la thérapie appelée désensibilisation systématique, inventé par un autre comportementaliste nommé Joseph Wolpe. Une personne ayant une phobie (par exemple les araignées) sera invitée à se placer dans 10 scénarios avec des araignées et divers degrés de panique. La première sera une scène très douce (comme voir une petite araignée au loin à travers une fenêtre). La seconde sera un peu plus menaçante et ainsi de suite jusqu'à ce que le chiffre 10 présente quelque chose d'extrêmement terrifiant (par exemple, une tarentule qui traverse votre visage pendant que vous conduisez votre voiture sur des milliers de kilomètres heure!. Le thérapeute vous apprendra alors à détendre vos muscles, ce qui est incompatible avec l'anxiété.) Après avoir pratiqué cela pendant quelques jours, vous retournez voir le thérapeute et vous parcourez tous les deux les scénarios un par un, s'assurer d'être détendu, revenir en arrière si nécessaire, jusqu'à pouvoir enfin imaginer la tarentule sans ressentir tension.

C'est une technique particulièrement proche de moi, car j'avais en fait une phobie des araignées et j'ai pu m'en libérer avec une désensibilisation systématique. Je l'ai tellement bien travaillé qu'après une seule séance (derrière le scénario original et un entraînement de relaxation musculaire) j'ai pu sortir de la maison et attraper une de ces petites araignées à pattes longue.

Au-delà de ces exemples simples, la modélisation traite également de comportements plus complexes. Par exemple, vous ne devenez pas chirurgien du cerveau simplement en entrant dans une salle d'opération, en coupant la tête de quelqu'un, en réussissant à retirer une tumeur et en étant payé beaucoup d'argent. Au contraire, vous êtes façonné avec sensibilité par votre environnement pour profiter de certaines choses; réussir à l'école; prendre des cours de biologie; peut-être regarder un film médical; faire une visite à l'hôpital; entrer à l'école de médecine; être encouragé par quelqu'un à choisir la neurochirurgie comme spécialité et ainsi de suite. C'est aussi quelque chose que vos parents feront avec soin, comme le rat dans la boîte, mais mieux, moins c'est intentionnel.

Stimulus indésirable (aversif) ­ en psychologie ibéro-américaine, le terme a été traduit par aversif, N.T.

UNE stimulus défavorable c'est le contraire du stimulus renforçant; quelque chose que nous considérons comme désagréable ou douloureux.

Un comportement suivi d'un stimulus défavorable entraîne une diminution de la probabilité d'occurrence de ce comportement à l'avenir.

Cette définition décrit en plus du stimulus indésirable, une forme de conditionnement connue sous le nom de Châtiment. Si nous frappons le rat pour avoir fait x, il le fera moins de fois x. Si je gifle José pour avoir lancé ses jouets, il les lancera de moins en moins (peut-être).

D'un autre côté, si nous supprimons un stimulus défavorable établi avant que le rat ou José fasse un certain comportement, nous faisons un renforcement négatif. Si on coupe l'électricité alors que le rat est debout sur ses pattes arrière, il tiendra plus longtemps sur ses pattes. Si vous arrêtez d'être lourd pour qu'il sorte les poubelles, il est plus susceptible de sortir les poubelles (peut-être). On pourrait dire que ça « fait tellement du bien » quand le stimulus adverse s'arrête, que cela sert de renfort !

Un comportement suivi de la cessation du stimulus indésirable entraîne une probabilité accrue que ce comportement se reproduise à l'avenir.

Notez à quel point il peut être difficile de différencier certaines formes de renforcement négatif du renforcement positif. Si je vous affame et vous donne à manger quand vous faites ce que je veux, est-ce une performance positive? est-ce un renfort?; Ou est-ce l'arrêt du négatif; c'est-à-dire du stimulus adverse de l'avidité ?

Skinner (contrairement à certains stéréotypes qui ont surgi autour des comportementalistes) ne « tolère » pas l'utilisation du stimulus indésirable; pas à cause d'une question éthique, mais parce que ça ne marche pas bien! Vous souvenez-vous quand j'ai dit tout à l'heure que José pourrait arrêter de jeter les jouets et que je pourrais peut-être jeter les ordures? C'est parce que ce qui a maintenu les mauvais comportements n'a pas été supprimé, comme ce serait le cas s'il avait été définitivement supprimé. Ce renforcement caché n'a été "couvert" que par un stimulus adverse conflictuel. Donc, sûrement, l'enfant (ou moi) se comporterait bien; mais ce serait quand même bien de jeter les jouets. Tout ce que José a à faire est d'attendre que vous soyez hors de la pièce ou de trouver un moyen de blâmer son frère, ou échapper d'une manière ou d'une autre aux conséquences, et revenir à son comportement précédent. En fait, puisque José n'apprécie désormais son comportement antérieur qu'en de rares occasions, il implique un schéma de renforcement variable (programme) et sera encore plus résistant à l'extinction dudit comportement!.

La modification du comportement (généralement connu en anglais sous le nom de mod-b) est la technique thérapeutique basée sur les travaux de Skinner. C'est très direct: éteindre un comportement indésirable (en enlevant le renfort) et le remplacer par un comportement souhaitable avec un renfort. Il a été utilisé dans toutes sortes de problèmes psychologiques (addictions, névrose, timidité, autisme et même schizophrénie) et est particulièrement utile chez les enfants. Il existe des exemples de psychotiques chroniques qui n'ont pas communiqué avec les autres depuis des années et ont été conditionnés à se comporter manières tout à fait normales, comme manger avec une fourchette et un couteau, s'habiller, prendre la responsabilité de sa propre hygiène personnelle, et le reste.

Il existe une variante de mod-b appelée Économie symbolique, qui est utilisé avec une grande fréquence dans les institutions telles que les hôpitaux psychiatriques, les foyers pour mineurs et les prisons. Dans celles-ci, certaines règles sont explicitées et doivent être respectées; s'ils le sont, les sujets sont récompensés par des jetons spéciaux ou des pièces échangeables contre des après-midi libres à l'extérieur de l'institution, des films, des bonbons, des cigarettes, etc. Si le comportement est appauvri, ces jetons sont supprimés. Cette technique s'est avérée particulièrement utile pour maintenir l'ordre dans ces institutions difficiles.

Un inconvénient de l'économie symbolique est le suivant: lorsqu'un « stagiaire » d'une de ces institutions quitte le centre, ils retournent dans un environnement qui renforce le comportement qui les a initialement conduits à entrer dans le même. La famille du psychotique est généralement assez dysfonctionnelle. Le délinquant juvénile retourne directement dans la « gueule du loup ». Personne ne leur donne des jetons pour se comporter bien. Les seuls renforts pourraient viser à garder le projecteur sur le "passage à l'acte" ou une certaine gloire du gang lors d'un vol à l'étalage dans un supermarché. En d'autres termes, l'environnement ne s'adapte pas très bien !

Walden II

Skinner a commencé sa carrière en tant que philologue anglais, écrivant des poèmes et des nouvelles. Bien sûr, il a également écrit de nombreux articles et livres sur le béhaviorisme. Mais peut-être qu'il est le plus connu de la population en général pour son livre Walden II, où il décrit une commune presque utopique fonctionnant selon ses principes.

Certaines personnes, en particulier les religieux de droite, attaquent le livre en disant que ses idées enlèvent notre liberté et notre dignité en tant qu'êtres humains. Skinner a répondu à la vague de critiques avec un autre livre (l'un de ses meilleurs) intitulé Au-delà de la liberté et de la dignité. Ici, il demande: Que voulons-nous dire quand nous disons que nous voulons être libres? Nous voulons souvent dire que nous ne voulons pas être dans une société qui nous punit pour faire ce que nous voulons faire. Eh bien, les stimuli indésirables ne fonctionnent pas très bien, alors jetons-les! -, alors nous n'utiliserons que des renforts pour "contrôler" la société. Et si nous choisissons les bons renforts, nous nous sentirons libres, puisque nous ferons ce que nous pensons devoir faire !

Idem pour la dignité. Quand on dit « il est mort dans la dignité », qu'entend-on par là? Qu'il a maintenu ses "bonnes conduites" sans aucune arrière-pensée apparente. En fait, il a conservé sa dignité car son histoire de renforcement l'a amené à considérer qu'un comportement aussi "digne" était plus fortifiant que de faire une scène.

Le mal fait le mal parce que le mal est compensé. Les bons font le bien parce que leur bonté est récompensée. Il n'y a pas de vraie liberté ou dignité. Actuellement, nos renforts pour les mauvais et les bons comportements sont chaotiques et hors de notre contrôle; il s'agit d'avoir de la malchance ou de la chance dans notre « choix » de parents, d'enseignants, de partenaires et d'autres influences. Mieux vaut prendre le contrôle, en tant que société, et concevoir notre culture de manière à ce que le bien soit récompensé et le mal s'éteigne. Avec le bon technologie comportementale, pouvons culture de conception.

La liberté et la dignité sont des exemples de ce que Skinner appelle constructions mentalistes (inobservable et donc inutile pour la psychologie scientifique). D'autres exemples sont les mécanismes de défense, les stratégies d'adaptation, la réalisation de soi, l'inconscient, la conscience et même des choses comme la colère et la soif. L'exemple le plus important est ce que vous appelez homoncule (Latin pour "petit homme") qui est censé résider en chacun de nous et est utilisé pour expliquer notre comportement et nos idées telles que l'âme, l'esprit, le moi, le jugement, le moi et, bien sûr, la personnalité.

Au lieu de ce qui précède, Skinner recommande que les psychologues se concentrent sur l'observable; c'est l'environnement et notre comportement dans celui-ci.

Que vous soyez d'accord ou non, Skinner est un bon écrivain et très divertissant à lire. j'ai déjà mentionné Walden II Oui Au-delà de la liberté et de la dignité (1971). Le meilleur résumé de ses théories est dans le livre À propos du comportementalisme (1974).

Cet article est simplement informatif, dans Psychology-Online, nous n'avons pas le pouvoir de poser un diagnostic ou de recommander un traitement. Nous vous invitons à vous rendre chez un psychologue pour traiter votre cas particulier.

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